IL ETAIT UNE FOIS TEXTE 1 EPISODE 8 à

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Episode 8


« Sandra regarda Christophe et faillit éclater de nouveau de rire. Elle réfléchit un instant. Il fallait trouver une excuse qui tienne la route ! Ses amis étaient arrivés depuis quelques 5 minutes maintenant. Et en voyant que la voiture de Christophe ne les suivaient pas, ils avaient commencé à se poser des questions. »

- On a été obligés de faire demi-tour, quelque chose était tombé de mon sac à mains sur le parking !
- Tu t’en ai aperçu quand  ?!
- En suivant la fourgonnette. Ca n’a pas été simple de faire demi-tour, mais c’est bon, tout est réglé.
- Mais vous êtes où là ?
- Je sais pas, sur la route…
- bip bip bip…
- Rupture de réseau !
- Mouais…
- Tu crois qu’elle t’a cru ?
- J’ai été convaincante ou pas ?
- Pour moi, oui, mais tu semblais quand même assez calme…
- Oui, mais je suis plutôt calme dans la vie tu sais.

«  Il découvrait une nouvelle facette de la belle. Il continuèrent la route et arrivèrent enfin au camping où toute la bande les attendaient avec les torches électriques qui balayaient le terrain en tout sens. »

- Tout va bien ? 
- Oui, impecc’. Dis, je me gare où ?
- Tu peux te mettre le long de ce mobil home, les locataires sont partis hier, ils ne reviendront pas avant l’an prochain.
- Venez vite, la pluie recommence à tomber.

« Christophe les regarda courir sous les première gouttes. Il prit tout son temps pour fermer sa voiture, il se sentait si bien, si léger, si heureux… ; enfin, il fit comme eux et partit à grandes enjambées dans la direction où il avait vu disparaître sandra. Il vit les igloos dont lui avait parlé sandra dans le magasin. Mais un des garçon lui fit signe de le suivre. Ils avaient un ami qui possédait une grande caravane à quelques mètres de là. Comme il adorait faire la fête, il les avaient tous invités ce soir là sous l’auvent. D’emblée, il fut des plus amical avec le nouveau venu et le tutoya de suite »

- Entre Christophe et prend un siège. Tu sais, c’est pas le 5 étoiles chez nous, c’est les VACANCES !!!!!!!
- Youhouuuuuuuuuuuu !!!
- Alors, pour les verres, voilà, tu fais un quart de tour sur ta gauche et tu va trouver les gobelets en plastique sur le frigo.

« Christophe s’enhardit dans cette ambiance bon enfant où tout fleurait bon les vacances. Oui, il se sentait dépaysé, et il se sentait si bien, si vivant…. Enfin, il avait l’impression de faire partie d’une bande d’amis. Très vite, il pris part aux préparatifs du repas.  Le menu avait été changé en raison de la météo. Ici, ils avaient l’habitude de faire beaucoup de barbecues le soir.
Mais ce soir, avec cette pluie qui s’était remise à tomber, c’était devenu impossible.
Sand, Flo et deux autres nanas sortirent les victuailles des placards de la caravane ; Les garçons s’affairaient de leur côté, ramenant tables de camping et chaises pliantes. L’auvent de leur caravane était suffisamment vaste pour tenir à dix en dessous. »

- Tu peux apporter les chaises qui sont à côté de toi

Zouny

 

Episode 9
C’est ce que se demandait Sandra étendue dans l’igloo de Christophe, les yeux au ciel…
Ils avaient fait l’amour une bonne partie de la nuit. Doucement, tendrement…
Christophe est un amant merveilleux ! A présent, il dormait sur le ventre à côté et tout contre elle, une main possessive posée sur son sein droit.
Elle le regardait tendrement, avec un sourire songeur… Comment ce garçon, qu’elle ne connaissait seulement que depuis quelques heures, pouvait-il l’avoir ainsi littéralement hypnotisée, jusqu’à la conduire dans sa couche dès le premier soir !
Cela était une chose qui ne lui était jamais arrivée…
 
Fille unique, Flo était sa seule vraie amie, et c’est elle qui l’avait introduite dans cette bande de copains dont ses deux frères faisaient partie. Ils étaient devenus petit à petit sa vraie famille, ses parents à elle, si vieux déjà de l’avoir eu si tard et l’ayant toujours couvée, la voyaient leur échapper jour après jour.
Secrétaires toutes les deux dans une grande firme d’import-export, Flo et elle avaient tout de suite sympathisé, comme seules deux filles peuvent le faire, fusionnelles pour la vie !
C’est donc tout naturellement qu’elle l’avait suivie à ce camp de vacances improvisé par les frères de Flo, Patrick et Fabien, avec son petit copain à elle, Marc et l’ami de ce dernier, Adrien, propriétaire de la caravane d’hier soir.
Quand Christophe lui avait demandé de le suivre à son camping, voisin du leur en quelque sorte, distant qu’il était à peine de cinq cent mètres, elle avait dit oui sans même hésité, car refuser ne lui serait pas venu à l’esprit ! Depuis tout à l’heure à la plage, elle avait tout de suite su que ce garçon et elle, ce serait une grande histoire d’amour !…
Dès qu’ils avaient pénétré dans la tente de Christophe, sorte d’igloo elle aussi, elle s’était laissée aller dans ses bras protecteurs et caressants, répondant au baiser qui lui brûlait les lèvres.
Ils avaient profité d’un arrête de la pluie pour venir jusque là, mais à présent celle-ci tambourinait à nouveau sur la toile de tente, contribuant à l’impression qu’ils avaient d’être seuls au monde…
Se laissant emporter par la vague de sentiments qui l’habitaient, elle avait laissé Christophe l’effeuiller doucement, tendrement, la rhabillant de baisers, de telle sorte qu’elle ne se sente pas du tout nue : cela ne lui était jamais arrivée cette impression…
Elle aussi s’était attaquée alors aux vêtements du si beau garçon dans les bras duquel elle fondait littéralement  et, bientôt nus tous les deux, ils s’étaient laissés allés sur le matelas pneumatique de Christophe, large et confortable.
Dès lors, les caresses savantes du garçon l’avaient bientôt rendue folle de désir, et c’est avec amour qu’elle s’ouvrit à l’offrande qu’il lui fit de la prendre comme on cueille une fleur délicate…
Sandra avait déjà connu l’amour précédemment avec un collègue de bureau, Lucien, qui était resté son petit ami durant quelques semaines, puis celui-ci avait été muté dans une succursale, lui donnant de l’avancement. Il avait bien évoqué la possibilité pour Sandra de le suivre, mais si timidement qu’elle avait compris que ce n’était pas là le grand amour dont elle avait rêvé, et leur liaison s’était achevée là. Ils n’avaient fait l’amour que trois fois, mais elle avait ressenti plus d’égoïsme que de don de soi chez Lucien, et avait s’en était assez vite consolée, accompagnant plus souvent la bande de copains de Flo, son amie fidèle, qui dans la foulée lui avait proposé ces vacances.
 
Christophe bougea dans son sommeil, et Sandra retint un instant sa respiration, mais voyant son amant sourire au contact de son sein auquel il avait l’air de s’accrocher, elle lui sourit également en lui caressant le front, relevant une mèche qui lui tombait dans les yeux. Christophe eut un soupir de satisfaction mais ne s’éveilla pas : il devait rêver d’elle !…
Sandra sourit à nouveau et se laissa repartir dans ses songes éveillés…
L’aube pointait à présent, rosissant le ciel de Bretagne où ils avaient risqué de venir installer leur camp : allier verdure, champs et plage leur avait semblé un summum, même si la Bretagne avait une réputation de pleureuse quand à son ciel, si beau pourtant quand l’ornait le soleil.
Sandra espérait que la pluie d’hier au soir et de cette nuit aurait achevé de vider le ciel de ses nuages, donnant la possibilité de se promener sur le « chemin des douaniers » qui longeait la côte, réservant une vue changeante et magnifique parfois, sur les granits roses de sa côte sauvage ou douce, les criques succédant aux rochers.
La bande y avait été une heure hier, se promettant une promenade plus longue pour aujourd’hui, avec pique-nique emporté dans leurs sacs à dos.
Déjà, elle se félicitait de pouvoir y associer Christophe aujourd’hui pour une promenade dans une compagnie que, hier encore, elle n’espérait pas…
 
Christophe…
Qu’il était beau à regarder là, avec son visage parfait où une barbe blonde et légère naissait à présent, sans doute de même couleur que ses cheveux qu’il avait fournis et bouclés. Ses yeux si bleus qu’ils semblaient refléter le ciel étaient fermés et ce moment, mais elle pouvait s’imaginer se perdre dans leur azur car, rien que d’un regard hier sur la plage, elle avait senti son cœur fondre aussitôt…
Une telle chose ne lui était jamais arrivée auparavant, même pas avec Lucien qu’elle avait pourtant cru aimer. Elle lui avait écrit une ou deux lettres, mais devant la froideur de l’unique réponse, elle avait compris que ce volet était a fermer définitivement.
Avec Christophe, elle s’imaginait déjà dans ses bras pour la vie, seulement après une nuit d’amour, et à quelques semaines de distance à peine de son aventure sans lendemain avec Lucien.
Comment cela était-il possible ?
Se pouvait-il que deux êtres se trouvent ainsi, au coin d’une rue, dans une rame de métro, ou… frappés par un ballon de plage devenant messager de Cupidon ?
Sandra, à ce souvenir, se mit à rire doucement, avec quelques saccades qui éveillèrent Christophe du doux rêve qu’il faisait… pour s’y retrouver éveillé, tenant encore le sein de sa bien-aimée :
- Bonjour mon amour ! dit-il. Ce n’était donc pas un rêve, puisque tu es là ?
- Oui, mon Christophe… Je suis si bien dans tes bras que j’y resterait pour la vie si… tu me le demandais !
- Mais ne te l’ai-je pas demandé, déjà cette nuit ? répondit-il dans un baiser.
- Justement, oui !  C’est pourquoi j’en rêvais déjà tout éveillée en t’admirant tout ensommeillé près de moi.
- Je ne sais pas comment j’ai pu vivre sans toi jusqu’ici, mon amour !  Je ne vivais que pour cette rencontre, et te voilà à présent comme une nymphe à mes côtés, comme Vénus sortie tout droit des eaux !
- Sauf que, dans notre cas, ce fut un gros ballon de plage qui t’a méchamment secoué ! fit-elle à nouveau secouée d’un rire de gorge qui coulait telle une cascade.
A ces mots un peu moqueurs, il se jeta littéralement sur elle comme pour l’étrangler, mais leur joute se termina dans un baiser profond qui se mit bientôt à leur réveiller les sens…
Leurs corps retrouvent très vite les repères de la nuit, et cette journée commence par un repas d’amour pour ces affamés qu’ils sont. Christophe est un amant merveilleux, qui doit avoir une sacrée expérience se dit Sandra quand leurs corps se calment enfin…
- Tu as connu beaucoup de femmes, mon amour ?
- Eh bien, quelques unes, oui… mais aucune qui te soit comparable ma belle.
- Tu dis ça pour me faire plaisir !
- Mais non, mon amour, je suis sincère, je t’assure !
Elle fait semblant de le croire, bien sûr, mais tous les hommes disent ça sans doute, non ?
Mais elle est si heureuse en ce moment, qu’elle ne veut pas penser encore à demain : aujourd’hui est trop important que pour perdre son temps en suppositions d’avenir, non ?
- Christophe ! Nous devrions rejoindre les autres car il est déjà tard et nous avions projeté une longue promenade pour aujourd’hui.
- Ah oui ? Bon alors… Puisqu’il le faut, nous allons vite aller prendre une douche et nous y allons !
Il ne leur faut pas beaucoup de temps pour aller prendre une douche aux cabines prévues à cet effet dans le camp, Sandra emballée dans une grande serviette de bain de Christophe qui a lui les reins seings d’une autre.
Peu de temps après, ils arrivent à la caravane d’Adrien où les autres finissent de petit-déjeuner :
- Alors, les amoureux, bien dormi ? demande Flo l’œil canaille.
- Super bien ! lui affirme Sandra avec un clin d’œil complice.
 
Gaikoala, ou Alexandre MALOIN, auteur

 

Episode 10
- J’ai passé une nuit de rêve…
Christophe posa un baiser dans le cou de sa belle, en fermant à demi les yeux, heureux qu’il était de revivre après autant de mois seul, sans personne à aimer. Un air de salsa retentit quelque part sur le camping, du côté des sanitaires. Aussitôt, la bande joyeux drilles commença  danser devant la table du petit déj’, sous le regard amusé des autres campeurs. On voyait les premiers baigneurs passer, chargés de leurs effets de plage, la casquette vissée sur le crâne, les lunettes de soleil bien en place sur le nez. Ca sentait bon les vacances. Christophe savourait pleinement ces congés en bord de mer. Sandra se leva, passa derrière lui et s’accrocha amoureusement à son cou en passant ses deux bras.
- Dtes les jeunes, l’heure tourne, où sont les autres ?
- J’ai vu Patrick et Adrien entrer dans la caravane, ils cherchaient la carte routière.
- Quel est le programme du jour ?
- Une excursion si j’en crois ce que les autres disaient hier au soir, juste avant que vous ne vous éclipsiez tout deux…
Totophe ne les écoutaient plus, plongé qu’il était dans ses songes. Il n’en revenait pas, hier, il était là dans ce magasin  à chercher des épingles à linge et à rencontrer par hasard ces deux ravissantes jeunes femmes, et aujourd’hui, il faisait partie à son tour de l’quipe, comme s’il en avait toujours été ainsi !!
Les filles débarrassrent  la hâte la table et allèrent laver rapidement la vaisselle. Pendant ce temps, les garçons mettaient en place l’excursion en question, veillant à ne rien laisser au hasard.
Ils souhaitaient en effet faire une sorte de randonnée avec des étapes touristiques.  Ils arrêteraient les véhicules sur un parking et feraient donc leur " promenade " comme l’appeler Fabien.
Une demie-heure plus tard, tout était chargé dans le mini van et la voiture de Christophe. Ils étaient fin prêts pour le départ.
- Qui part devant ?
- Les garçons veulent se placer en premier, avec le mini van, on aura plus de chance de se retrouver sur la route s’il y a beaucoup de circulation.
- Pas de souci, en plus moi je ne connais pas très bien la région !!
Sandra sourit et enlaça son homme, qui discutait avec leurs amis,  à côté de la voiture. Rapidement, on fit un dernier point en vérifiant qu’il y avait bien deux cartes routières, une pour le mini van, et une pour Christophe. En cas de problème, avec la carte, ils s’en sortiraient toujours mieux.
Quand tout fut ok de part et d’autre, on ferma la caravane, lieu stratgique de rassemblement de la joyeuse bande, et chacun rejoint son véhicule. Le van traversa lentement le camping, au pas, talonné de Christophe et Sandra qui chantaient déjà  tue tête du ABBA dans l’habitacle, lunettes de soleil sur le pif.
Le soleil jouait sur les falaises de la côte, faisant apparatre ça et là des reflets argents, des reflets d’or, d’ocre. Un merveilleux spectacle pour les yeux.
Le portable de Sandra laissa soudain entendre sa sonnerie Traviatta. Elle décrocha illico aux premières mesures. Christophe fronça le sourcil, il venait de paumer la trace du mini van…
- Nous sommes arrêtés sur une aire de stationnement, juste après un Calvaire avec des vases emplis de fleurs. On est passés devant le restaurant " Le Bihnic ". On a loupé la route du premier village où on va… Vous tes où vous ?
- On est en train de longer une plage avec des cabanes de pêcheurs vertes et blanches, ça te dit quelque chose ?
- Ouais, on est aussi passés là. C’est après qu’on a du laissé passé la route !! Elle est sur votre gauche.
- Ok, on vous rejoint sur l’aire de stationnement, ne bougez pas.
Christophe flaira de suite que c’était la bonne route à prendre en passant devant une direction sur sa gauche qui ressemblait plus à un chemin de terre. La pancarte était à demi éffacée, raison probable pour que les autres ne l’ai pas vue. Il trouva un repaire dans le paysage, une superbe épouvantail en salopette de jean et avec un magnifique chapeau de paille. Avec ça, ils retrouveraient sans peine la bonne route.
Une fois Christophe arrêté dérrière le van, les joyeux drilles en profitèrent pour sortir quelques rafraîchissements des glacières. L’heure tournait et le soleil commenait à bien taper. Adrien sorti un bloc notes de son siège et nota les villages étapes à traverser. Il connaissait bien la région, il avait aussi de nombreux amis disséminés un peu partout alentours. En cas de problème, il savait où s’adresser. On déplia de nouveau les cartes et le fluo ne fut pas superflu pour clarifier le trajet. Maintenant, tout était plus net aux yeux de tous.

Totophe évoqua le point de repaire qu’il avait trouvé pour accéder à la route qu’ils avaient  à prendre.
- Je ne l’ai pas vu moi. Comme je pensais vraiment avoir loupé la route, je n’y ai sans doute pas fait attention !!
- Tu verra, il est assez visible dans le paysage.
- Christophe, tu sais ce qu’on va faire, tu va prendre la première position jusqu’à cette fichue route et on repassera devant une fois engagés. Aprsè ça devrait aller…
- Pas de problème.

 
Le trajet repris et se déroula normalement jusqu’au premier village. Adrien reconnu le gros chaudron fleuri  l’entrée du bourg.

 


- On est bons, c’est bien ici. Reste à trouver de la place…
- On tombe en plein jour de marché apparemment.
- Oui, impossible de stationner sur la place du marché ou celle de l’glise.
- Ou allons nous ?
- Là, tu va prendre à droite, juste après l’abri bus. Il y a un supermarché, on devrait pouvoir se mettre là.


Derrière, Christophe suivait avec précision les moindres changements de direction du van. Il devait en même temps slalomer avec une calèche tire par deux chevaux blancs qui transportait des enfants. Le jeune homme mit son clignotant en voyant le van tourner sur sa droite.
Le marché s’étendait encore un peu plus loin, jusqu’au bureau de poste. Le van était là, entre un rangement  à chariots et la station de lavage auto, sur un parking de grande surface. Christophe stationna à ses côtés et les deux amoureux en sortirent en s’étirant tel des chats. Adrien sorti un petit calepin ou il avait griffonné quantité de notes. Machouillant son crayon de papier, il leva le nez.
- Le musée maritime est à la sortie du village, si je me souviens bien.
Ils se retournèrent un peu dans toutes les directions, cherchant une pancarte qui leur indique l’emplacement du Musée où ils voulaient aller.
- Oui, mais de quel côté… ????
ZOUNY

Publié dans LES COLLECTIFS

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